Une nouvelle étude menée par des chercheurs à l'Université de Cincinnati (UC) montre qu'à court terme, riche en graisses "splurges" au sein de la diète pourrait susciter un effet cardioprotecteur propriétés lors d'une attaque cardiaque.
Ces résultats sont présentés pour la première fois lors de la réunion de biologie expérimentale de 2011 parrainé par la société américaine de pharmacologie et de thérapeutique expérimentale le 13 avril à Washington, D.C.
Lauren Haar, étudiante au doctorat dans les systèmes de biologie et physiologie Graduate Program, trouvé qu'à court terme, riche en graisses alimentaires dans des modèles animaux conduit à cardioprotection contre l'infarctus du myocarde (im, ou crise cardiaque) et a donné lieu à moins de dégâts tissu cardiaque.
« Les précédentes études cliniques ont soutenu l'idée que certains patients atteints de niveaux élevés de cholestérol ont meilleur taux de survie lorsque leur cœur échoue après que cardiaque ischémique blessure que celles avec le plus faible taux de cholestérol, mais la raison de ce n'est pas clair », dit-elle. « Des recherches antérieures à l'aide d'un modèle animal de l'insuffisance cardiaque jumelé avec chronique alimentation riche en gras ont montré d'amélioration dans la fonction cardiaque et la modulation des profils de gène cardioprotecteur. Cependant, il y a très peu d'études qui vise à comprendre l'effet aigu de ces régimes sur MI.
« Nous voulions voir si en était de même dans les modèles d'aiguë d'alimentation riche en gras jumelé avec simulé des attaques cardiaques. »
Pour l'étude, les chercheurs nourris un groupe de souris une alimentation riche en gras (60 pour cent des calories provenant des graisses saturées) pendant deux semaines ou moins. Le deuxième groupe a reçu le régime riche en gras pendant six semaines, et un groupe de contrôle une alimentation régulière, base de grains et de légumes.
« Nous alors induite par la crise cardiaque dans tous les groupes et évalué la fonction cardiaque et l'étendue des blessures aux tissus, Haar dit. « Nos résultats ont montré que les blessures chez les souris nourri un régime riche en gras aiguë (deux semaines ou moins) a été réduite de 70 % par rapport aux groupes nourris sur une alimentation riche en gras pendant six semaines ou nourris un grain de contrôle et de légumes diète basée. »
Elle dit qu'il n'y n'avait aucune cardioprotection observée dans le groupe de six semaines, indiquant que splurges à court terme sont clés, et les effets des soutenue riche en graisses alimentaires, y compris l'obésité et le diabète, ne contribuent pas à la cardioprotection.
« De plus, les animaux nourris avec une alimentation riche en gras pendant 24 heures et retourne ensuite à un régime de contrôle pour 24 heures avant l'attaque cardiaque a connu une longue « fin de la phase » protection contre les blessures, ou "ajoute-t-elle. « Cela montre qu'aiguë--ou à court terme--riche en graisses alimentaires dans des modèles animaux préserve la fonction cardiaque. »
Haar dit que plus d'études sont en cours pour trouver les facteurs qui initier cette réponse dans le corps.
« Cela pourrait signifier grandes choses pour les soins aux patients si nous pouvons trouver les mécanismes qui entrent en jeu à cause de cette cardioprotection, » dit-elle, ajoutant que cela pourrait être une façon de patients de « pre-treat » à risque de crise cardiaque. « Cela aussi peut montrer que, s'il est important de manger à droite, pas tous les aliments « bad »--tout comme de la viande rouge--devraient être évité tout le temps. Cela pourrait changer la façon dont nous considérons nutrition et diététique recommandations. »
Haar a mené sa recherche sous la direction de Keith Jones, Ph.d., professeur agrégé au département de pharmacologie et de biophysique cellulaire et Jack Rubinstein, MD, professeur adjoint de médecine dans la division des maladies cardiovasculaires et cardiologue UC santé.
Cette étude a été financée par le National Institutes of Health et un prix de UC Rehn. Bourses de recherche de famille Rehn sont des subventions internes qui soutiennent le développement de la recherche de la faculté junior de médecine interne, cliniques et postdoctorales boursiers, résidents, étudiants diplômés et des étudiants en médecine.
Ces résultats sont présentés pour la première fois lors de la réunion de biologie expérimentale de 2011 parrainé par la société américaine de pharmacologie et de thérapeutique expérimentale le 13 avril à Washington, D.C.
Lauren Haar, étudiante au doctorat dans les systèmes de biologie et physiologie Graduate Program, trouvé qu'à court terme, riche en graisses alimentaires dans des modèles animaux conduit à cardioprotection contre l'infarctus du myocarde (im, ou crise cardiaque) et a donné lieu à moins de dégâts tissu cardiaque.
« Les précédentes études cliniques ont soutenu l'idée que certains patients atteints de niveaux élevés de cholestérol ont meilleur taux de survie lorsque leur cœur échoue après que cardiaque ischémique blessure que celles avec le plus faible taux de cholestérol, mais la raison de ce n'est pas clair », dit-elle. « Des recherches antérieures à l'aide d'un modèle animal de l'insuffisance cardiaque jumelé avec chronique alimentation riche en gras ont montré d'amélioration dans la fonction cardiaque et la modulation des profils de gène cardioprotecteur. Cependant, il y a très peu d'études qui vise à comprendre l'effet aigu de ces régimes sur MI.
« Nous voulions voir si en était de même dans les modèles d'aiguë d'alimentation riche en gras jumelé avec simulé des attaques cardiaques. »
Pour l'étude, les chercheurs nourris un groupe de souris une alimentation riche en gras (60 pour cent des calories provenant des graisses saturées) pendant deux semaines ou moins. Le deuxième groupe a reçu le régime riche en gras pendant six semaines, et un groupe de contrôle une alimentation régulière, base de grains et de légumes.
« Nous alors induite par la crise cardiaque dans tous les groupes et évalué la fonction cardiaque et l'étendue des blessures aux tissus, Haar dit. « Nos résultats ont montré que les blessures chez les souris nourri un régime riche en gras aiguë (deux semaines ou moins) a été réduite de 70 % par rapport aux groupes nourris sur une alimentation riche en gras pendant six semaines ou nourris un grain de contrôle et de légumes diète basée. »
Elle dit qu'il n'y n'avait aucune cardioprotection observée dans le groupe de six semaines, indiquant que splurges à court terme sont clés, et les effets des soutenue riche en graisses alimentaires, y compris l'obésité et le diabète, ne contribuent pas à la cardioprotection.
« De plus, les animaux nourris avec une alimentation riche en gras pendant 24 heures et retourne ensuite à un régime de contrôle pour 24 heures avant l'attaque cardiaque a connu une longue « fin de la phase » protection contre les blessures, ou "ajoute-t-elle. « Cela montre qu'aiguë--ou à court terme--riche en graisses alimentaires dans des modèles animaux préserve la fonction cardiaque. »
Haar dit que plus d'études sont en cours pour trouver les facteurs qui initier cette réponse dans le corps.
« Cela pourrait signifier grandes choses pour les soins aux patients si nous pouvons trouver les mécanismes qui entrent en jeu à cause de cette cardioprotection, » dit-elle, ajoutant que cela pourrait être une façon de patients de « pre-treat » à risque de crise cardiaque. « Cela aussi peut montrer que, s'il est important de manger à droite, pas tous les aliments « bad »--tout comme de la viande rouge--devraient être évité tout le temps. Cela pourrait changer la façon dont nous considérons nutrition et diététique recommandations. »
Haar a mené sa recherche sous la direction de Keith Jones, Ph.d., professeur agrégé au département de pharmacologie et de biophysique cellulaire et Jack Rubinstein, MD, professeur adjoint de médecine dans la division des maladies cardiovasculaires et cardiologue UC santé.
Cette étude a été financée par le National Institutes of Health et un prix de UC Rehn. Bourses de recherche de famille Rehn sont des subventions internes qui soutiennent le développement de la recherche de la faculté junior de médecine interne, cliniques et postdoctorales boursiers, résidents, étudiants diplômés et des étudiants en médecine.
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